En multipliant les ruches et en faisant proliférer les abeilles domestiques au dépens des abeilles sauvages , on a fourni un garde manger bien rempli aux frelons asiatiques. c’est ainsi que tout a débuté ou du moins que les frelons se sont autant multiplié. Un excès au sein de la Nature déclenche en réponse un excès.
En multipliant les ruches en ville partout et sans limites, on a crée le drive pour frelons : il suffit pour eux, de se tenir autour des ruches et de guetter la sortie des abeilles pour leur tomber dessus et les manger vivante: un vrai carnage mais de notre faute essentiellement. Et si c’était un moyen de réguler cette sur exploitation des abeilles ? .
Pas trop difficile pour eux de guetter , mais stressant pour elles au point que dans certaines ruches les reines stressées par ces attaques à répétition, ne pondent plus et mettant en danger la vie de l’essaim.
1/ Arrêtons de multiplier bêtement et commercialement les ruches notamment en ville . La commercialisation de miel n’est pas la finalité de l’abeille et la vente de miel ne doit pas être un métier , au mieux un loisir à ne pas dispenser et disperser aussi largement par effet de mode . Ce n’est pas écologiquement correct de mettre les abeilles en esclavage.
2/ Favoriser les abeilles sauvages , en essayant de les aider à trouver des refuges comme des bois creux que l’on dispose un peu partout dans son jardin , des bambous sont un bon exemple.
Et de grâce, après avoir construit des barres d’immeubles HLM pour les humains avec les résultats que l’on connait, ne créons pas des HLM à insectes avec ces “hôtels à insectes” qui sontpeut être bobologiquement correct, écologiquement surement pas. Encore une erreur au nom d’ne écologie mal comprise.
Le rebelle 2: 0
dr j Labescat