Etre dépendant de l’alcool est une vraie toxicomanie, comme toutes les toxicomanies, non dénuée de risques en supplément de la dépendance toxique en elle même. Voire ses défenses immunitaires diminuer ,comme ses fonctions cognitives , sa mémoire, son caractère changer, sans parler de son foie qui se détruit n’est ni confortable, ni plaisant. Il est temps de réagir tant que le point de non retour n’a pas été atteint , le foie se refait, si on lui en laisse le temps . Se priver d’alcool n’est pas simple, il est difficile mais pas impossible de se débarrasser de ce qui va devenir sinon un vrai fléau . Profitons de ce mois de janvier pour tenter faire un stop alcool , ce n’est pas facile mais loin d’être impossible. Parallèlement aux nouveaux traitements pourquoi ne pas essayer des formules naturelles ?
En complément bien évidemment d’un accompagnement psychologique et médical, la motivation et sa soeur la volonté sont des alliées incomparables , mais les plantes aussi et selon un schéma que l’on va vous détailler .
La cure est de trois semaines à renouveler si besoin et selon l’avis de votre équipe médicale .
Les axes du traitement ,plutôt de l’accompagnement, vont être d’aider à se passer d’alcool d’une part et de contribuer à régénérer les organes que l’alcool a lésés.
Prendre le matin à jeun, un verre de jus obtenu à l’extracteur à froid : de la préparation suivante :
Le chou facilite la digestion et nettoie le corps pendant que l’oignon est très riche en minéraux et vitamines.
On ajoute : 1 tasse 3 fois par jour à raison d’1 c a s par tasse du mélange à parts égales de :
OU
1 cuillère mesure à parts égales de :
En agissant sur les centres d’addiction, les plantes aident au sevrage alcoolique. Comme le fait cette plante le Kuzu , visionnez la vidéo