Notre deuxième version suite à vos remarques intelligentes et constructives
mais pas encore définitive à vous de nous le dire, les corrections sont indiquées en caractères gras.
Madame, Monsieur, nos élus
Conscients des difficultés que vous rencontrez dans l’exercice de la fonction pour laquelle vous avez été élu, nous aimerions cependant que vous nous aidiez dans notre volonté de rétablir des herboristeries en France. Elles existent partout ou presque en Europe, comme en France, avant la deuxième guerre mondiale. Devant une demande croissante de soins dits “naturels” et une offre qui le devient également, ne serait il pas utile d’encadrer cette dernière ?
Le rétablissement dans le cadre de la faculté, comme cela existait avant une décision du gouvernement français l’ayant supprimé en 1941, du diplôme d’herboriste, permettrait de former des personnes motivées souhaitant exercer une fonction de service au plus près des Français. Une herboristerie au coeur de chaque ville et village de France ne doit plus faire partie des images du passé. Ne serait ce pas aussi, un bon moyen, en complément de la médecine allopathique, d’élargir une offre de soins sous le contrôle des instances scientifiques ? Une médecine allopathique qui ne doit pas oublier ses racines bien souvent botaniques.
Dans cette action, pouvons nous compter sur votre soutien au point de rejoindre notre comité et de vous engager à oeuvrer en ce sens ?
Nous avons besoin de vous, ensemble nous serons plus forts !
En vous remerciant d’avoir consacré quelques instants à la lecture de notre lettre, croyez à toute notre considération, envers votre difficile fonction.