Tous les ans à la même époque , les mêmes symptômes apparaissent pas très graves mais vite gênants : mon nez me gratte, il coule, j’éternue, les yeux me piquent , je pleure , voire je tousse, j’éternue , suis-je allergique c’est la question que l’on peut se poser ? Des symptômes qui débutent au printemps et qui peuvent durer jusqu’au début de l’été et qui à défaut d’être graves, sont bien gênants, mon médecin m’a confirmé le diagnostic sans me donner vraiment de solution sinon palliative avec des médicaments qui ont tendance à m’endormir, pourrai-je docteur avoir d’autres solutions plus naturelles, plus efficaces et dénuées d’effets secondaires ?
Dès que le baromètre remonte, que les fleurs apparaissent dans les prairies, les pelouses pou sur les arbres, que le temps sec et venteux disperse leur pollen , je commence à ne pas me sentir bien. J’éternue même quelquefois en séries, mon nez coule sans que je sois enrhumé, mes yeux me piquent et pleurent , quand je n’ai ^pas des quintes de toux pénibles, voire d’authentiques crises d’asthme , mon docteur me l’a dit c’est une allergie saisonnière , un rhume des foins plus vulgairement , ok mais pourquoi et comment m’en sortir ?
L’allergie est en fait un des moyens de défense dont dispose notre corps pour lutter contre des agressions externes. L’agresseur est ici identifié: le pollen . Il envahit nos muqueuses orales , bronchiques ou oculaires dès que l’on sort et en trop grand nombre, déclenche une réaction de défense avec sécrétion d’anticorps . le problème vient du fait que cette réaction s’emballe et trop d’anticorps est finalement toxique et cause toutes les réactions décrites . Une sorte d’emballement des défenses qui cause alors une vraie attaque et ses conséquences.
quand ces symptômes ( nez , gorge, yeux) se produisent de manière identique et à la même période de l’année, la suspicion est forte que l’allergie au pollen soit responsable de ces maux . pour s’en assurer on peut consulter son médecin traitant qui après enquête, j’allais dire confirme cette première impression , car le diagnostic est fait sur un interrogatoire précis . Pour être certain, des tests cutanés ou biologiques ne sont pas souvent utiles , les suspicions étant suffisantes .
Pour prévenir la crise saisonnière , faire un traitement préventif . Prendre des médicaments classiques , non dénués d’effets secondaires, envisager avec son allergologue une désensibilisation ou sinon lire notre article sur le traitement naturel conseillé ou encore .